3.12.22

Djinn

Je viens de finir de lire le livre Djinn (Alain Robbe-Grillet, 1981, 139 pages), et c'est la première fois que j'ai lu une livre entière au français!

C'est vrai que j'ai été étudié le français pendant du beaucoup temps. Mais c'est aussi vrai qu'il y a plusieurs d'années que je ne priorité pas la langue, sur tout parce que je ne vivre pas dans un pays dont se parle français. On contraire, je vivre ou Norvège, et c'est ça que le norvégien, le anglais et le portugais sont les langues avec lesquelles je me communique régulièrement.

Mais j'aime le français, et finalement j'ai pris la chance du étudiez la langue encore fois.

Donc le livre Djinn n'est qu'une partie de cet effort récent pour améliorer mon français. Et certainement est une livre qu'est très remarquable pour beaucoup de façons.

Primairement à raison de que ce c'est un livre caractéristique d'une école littéraire qui s'appelle Nouveau Roman. Cette à dire qu'il n'est pas comme un traditionnel roman, avec un genre spécifique, caractères bien définis, et une progression logique du temps. Pas du tout. Djinn a beaucoup de anachronismes, personnages qui se change même de nom et âge, et sur tout se concentre plus sur les objets que sur les personnes.

Dans quelque moments, Djinn se ressemble un roman policier. Après un peu, on va dire qu'il s'agit d'un livre de science-fiction. Et après en peu encore, que on lit une histoire d'amour. Et tout cela fait partie du plan d'auteur pour rompis dans le traditionnel roman, et montrer qu'une nouvelle façon de penser un roman est possible.

Donc Djinn n'est pas un livre facile à comprendre. Si un en lis d'une manière réaliste, en trouve beaucoup de problèmes avec les absurdes situations que se passe. Et quand en lis d'une manière symboliste, il y a aussi beaucoup d'alternative façons à l’interpréter l'histoire.

Malgré tout ça, je peux dire que c'est un très bon livre. Même pour quelqu'un qui connaît peu cette école litteraire, comme moi, le livre a une perspective intéressante sur la littérature qui en vaut la peine.

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